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"Cent" blog fixe
30 juillet 2014

Plus facile

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C'est plus facile de compliquer un problème que de le simplifier.

C'est bien dommage, car la vie est souvent composée d'un max de problèmes!

 

 

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28 juillet 2014

Une femme en rouge

blonde rouge

Une femme en rouge

est jugée 20% plus attirante par les hommes

 

(et par les taureaux aussi d'ailleurs).

 
 

26 juillet 2014

Particulière

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Cette rose est particulière. Je l'ai prise en photo dans un jardin où je n'étais pas allée depuis ... un certain nombre d'années! J'étais jeune alors. J'ai été si heureuse à cet endroit! Mais je l'ai photographiée surtout parce que je la trouve magnifique. Pourtant je n'aime pas les roses! (la fille super logique). Enfin, je n'aimais pas. Je suis réconciliée avec grâce à une rose rose qui a voyagé il y a quelques années en camping-car (non, pardon, en bus) pendant tout plein de kilomètres et sous une chaleur de ouf pour arriver jusqu'à votre servitrice.

Et vous mes ami(e)s, des histoires particulières avec une ou des fleur(s) ?

 

24 juillet 2014

Devinette du jour

Ade 22juill14

Eh oui la dernière fois qu'on s'est vues, ma fille n'est pas repartie seule! Qui la raccompagnait, à votre avis ?

 

24 juillet 2014

Spectacle nocturne

Pas aussi joli sans doute que le spectacle vu par Marie

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mais cela faisait tellement longtemps que j'avais envie de l'admirer!

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d'où un "crochet" sur le chemin du retour, la dernière fois qu'on est allés à la mer.

Un doux plaisir que ce spectacle nocturne! et j'espère le premier de la série que je voudrais m'offrir!

Belle journée à vous mes amis!

 

.•*´¨)
¸.•´¸.•´¨) ¸.•*¨)
(¸.•´ (¸.•´ (¸.•*´¯`*•.¸

 

Pour voir la cathédrale en plein jour (et même en plein soleil) : << clic >>

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23 juillet 2014

Rien n'a changé

En comptant depuis le moment où je suis tombée raide dingue de lui et le bout de notre histoire, j’ai vécu douze ans avec le père de mes filles. Je vous prie de croire que je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Ça a commencé dès notre nuit de noces : on était trois. Non, pas ce que vous croyez, coquins! Simplement, le jour où on s’est mariés (je rappelle que ma sœur brillait par son absence, elle a cru que c’était un gag) un de ses amis d’enfance a débarqué à l’improviste, alors il n’allait tout de même pas le laisser repartir sous prétexte qu’il se mariait ce jour-là, tout de même! Bref! J’ai donc passé ma nuit de noces à les écouter se raconter leurs souvenirs de potes toute la nuit et j’ai fini par m’endormir à côté d’eux sur le lit. Et puis Fille Aînée est arrivée mais ça n’a pas changé grand-chose à notre manière de vivre : des jeunes fous ! (on avait 19 ans, misère que c’est jeune !).

S’il y a bien quelque chose que je ne peux pas lui retirer, c’est ça, l’intensité. L’intensité de notre relation, ressentir les choses super fort, verser des torrents de larmes chaque fois qu’il m’a fait mal et des torrents de rires chaque fois qu’il m’a fait rire. Bref, on a vécu à 100 à l’heure, jamais-jamais-jamais on ne s’est ennuyés. Jamais. C’est bien simple, quand ça a commencé à tiédir, on a décidé de se séparer. On s’était mis à l’écart – oui, parce qu’on ne discutait jamais devant les filles. Personne ne nous a jamais vus nous disputer, inutile de dire le raz-de-marée qu’a fait l’annonce de notre séparation parmi nos relations innombrables. Tout le monde a cru que c’était un gag. Décidément !

Donc, nous étions d’accord pour ne pas continuer à nous ennuyer côte à côte, nous avons repris chacun "la clé de notre alliance" c’est-à-dire notre liberté et notre serment de fidélité (nous sommes restés encore quelques mois ensemble avant que mon futur-ex quitte l’appartement où nous étions locataires).

Juste avant qu’il parte on s’était réunis avec les filles pour leur dire, il ne serait pas loin et elles le verraient comme elles voudraient, de toutes façons il avait gardé la clé de l’appart’ …

Donc tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il faut dire que je suis une nana super, cool, gentille, je dis oui à tout, je ne pipe pas mot et tout ça aurait pu continuer jusqu’à la fin des temps (on ne parlait même pas de divorcer) si elle n’était pas apparue. Elle, la "nouvelle". Quoi ? Ça, une séparation? Tu te fiches de moi! Tu l’aimes encore, hein, avoue! 

Et c’est comme ça qu’elle a voulu divorcer.

A mon annulaire gauche, celui auquel je n’ai jamais remis de bague, j’ai regardé la jolie petite alliance que je portais et que je n’avais pas du tout envie de quitter. C’était une très jolie bague, et en plus, la seule en or que j’aie jamais eue.

J’étais drôlement embêtée. J’avais un sérieux impayé de loyers et de factures diverses à éponger, mes deux filles à nourrir, plus une montagne de dettes censément appartenir au couple mais que mon futur ex, dans sa grande mansuétude, m’avait abandonnée avec le reste. Je n’avais pas les moyens de divorcer ! Seulement, voilà, elle, pardon, lui, avait décidé que je ne pouvais plus porter son nom, et patati patata. Ma boîte aux lettres s’est mise à déborder de missives recommandées contenant des trucs hallucinants dont la moitié venait d’elle (?). Il a bien fallu que je me résolve à trouver un avocat, puisque, pour ceux qui ne le savent pas, pour divorcer, avoir un avocat est obligatoire.

Quand on m’a annoncé le prix d'un divorce (amiable), j’ai failli défaillir. Mais comme le brave petit soldat que j’ai toujours été, j’ai repris mon bâton et j’ai marché jusqu’au bureau d’aide juridictionnelle où j’ai obtenu la gratuité dans la seconde.

La suite de l’histoire est assez pathétique. L’avocate, j’ai dû la voir deux fois à tout casser. Non pas que je ne me rendais pas aux consultations. Si, si, j’y allais. Mais comme je ne lui payais rien elle faisait passer tous ses clients avant moi et le fait que j’étais lotie de mes filles qui étaient petites et qu’on passe des heures dans sa salle d’attente après ma journée de travail ne semblait pas la déranger plus que ça. Quand tout ce petit monde était passé, évidemment il ne lui restait plus beaucoup de temps à me consacrer.

C’est rétrospectivement que je me rends compte que ce n’était pas normal que ça se passe comme ça. Sur le moment, je n’ai rien dit. Après tout, je n’avais jamais divorcé.

Le jour du jugement, l’avocate est arrivée en retard et elle avait oublié mon dossier (ce qui n’était pas une grosse perte, vu qu’il était vide). Le divorce a été prononcé, et c’est tout. Le juge n’a pas statué sur les droits de visite et autre pension alimentaire, si bien que la pagaille a continué de régner joyeusement dans ma vie et dans celle de mes filles.

Par chance j’ai trouvé un travail bien payé l’année suivante ce qui m’a permis de prendre un autre avocat qui a fait le boulot qui n’avait pas été fait. Mon petit cœur et moi, on faisait nos premiers pas dans la cour des grands. Ça m’a coûté beaucoup de sous, beaucoup de temps, beaucoup de larmes et beaucoup de sang. Ça m’a aussi fait découvrir un personnage que je n’avais jamais vu de ma vie. Je parle de mon ex, ce bab cool qui avait toujours dit qu’on resterait amis pour la vie. Sauf que là, mon bab cool était tombé dans un coma irréversible. Mais bon, ce n’est pas grave. Qu’un type qui divorce salement divorce salement, il ne fait que remplir son rôle de type qui divorce salement.

Non, ce qui me met dans une colère monstrueuse, dans une rage incommensurable d'impuissance, c’est l’attitude de l’avocate. Parce que l’avocate, elle, elle a été payée. Pas aussi grassement qu’une autre, certes, et pas par sa cliente, mais elle a été payée. Pour quelque chose qu’elle n’a pas fait.

Bon, vous allez me dire, c’est vieux ton histoire, maintenant il y a prescription. C’est vrai : c’est vieux. Et comme vous j’espérais que les choses avaient changé.

Eh bien non. Rien n’a changé.

Alors à quoi ça sert de filer l’aide juridictionnelle aux femmes battues, qu’on les héberge en urgence et qu’on noircisse des kilomètres de plaintes si au final c’est encore celui qui paie qui "gagne"?

 

Marie

 

19 juillet 2014

Retour vers l'avenir

Bonjour mes amis,

je viens de lire chez Marie un petit questionnaire concernant ce que l'on aimerait faire si l'on pouvait retourner vers nos 20 ans, vous savez cet âge des temps préhistoriques où on écoutait de la musique venant de 33-tours, où il fallait appuyer sur un bouton pour allumer la télé et où il n'y avait pas de poste de téléphone dans toutes les maisons - s'il y en avait un il avait un fil qui nous rattachait à un mur (un mur de maçon je veux dire!). La notion de téléphone illimité était de la pure fiction (d'ailleurs, ça coûtait très cher de téléphoner, si cher que l'on pouvait demander à être rappelé en PCV). Le téléphone, quand j'avais 20 ans, servait à s'appeler pour se donner rendez-vous pour se voir. Quand j'avais 20 ans, quand on allait à un rendez-vous avec un inconnu, c'était pour le connaître.

Aujourd'hui, on n'arrête pas de s'écrire "On se voit quand ?" par tchat, mail ou SMS mais j'ai bien l'impression qu'on ne se voit plus beaucoup. Quand aux rencontres .... après le détour par le "profil", la photo en ligne ou simplement g***, la rencontre nous apprend juste que finalement, était-ce vraiment la peine de se déranger ?

Mais bon, comme d'hab, je suis partie sur tout-à-fait autre chose.

En lisant le petit jeu de Marie, a contrario je me suis demandé : où aimerais-je (en) être pour mes 60... 70 ans ? Qu'est-ce que j'aimerais bien faire ? Oui, tiens, comment aimerais-je vivre ?

Et vous, ces questions vous inspirent-elles ?

 

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13 juillet 2014

Un vase rempli de mauves fanées

Que c’est étrange de faire l’amour avec des mots. Sans se toucher, avant même de se rencontrer, chaque matin chaque soir, plusieurs fois par jour à n’importe quelle heure de la nuit nous couchions ensemble, nos paroles s’emmêlaient tant, bougeaient si bien l’une contre l’autre, ses chuchotements et mes cris incroyables, ces curieuses sensations que cela nous provoquait. Je m’efforçais d’y échapper, de lui échapper, je voyais bien que ce n’était pas "normal", j’essayais d’être loin de lui, rien n’y faisait, je ne pensais qu’à lui. Mon cœur était malmené, inquiet, effrayé. Je ne comprenais pas ce qui arrivait. Je t’assure, je ne comprenais pas, alors même que j’avais fait une croix sur l’amour, que je m’imaginais une vie tranquille faite d’amitiés, de sérénité, d’une sorte de tristesse confortable, voilà que je m’étais mise à l’aimer, à t’aimer, toi. Pourtant, la première fois que je t’avais vu je n’avais pas du tout pensé à l’amour, non vraiment pas du tout, tu n’étais pas mon type d’homme. C’est fou, disait François, c’est fou le nombre de personnes qui nous attirent et qui ne sont pas du tout notre type .. Je pensais, tiens une rencontre agréable, un homme intéressant, tu abordais tellement de sujets différents, et puis tu semblais avoir toutes les réponses, toutes les réponses à toutes les questions. Mais ensuite, voilà que je pensais à toi. Tout le temps. Beaucoup trop. Je me réveillais la nuit pour t’écrire, est-ce que tu t’en rappelles ? Mais je n’ai pas du tout pensé à l’amour, je ne pensais pas à ton corps, non pas du tout, je t’assure que c’est vrai. Pardonne-moi si je te blesse. Non, ce que je voulais, c’est parler avec toi, comme c’était bon de parler avec toi, j’aurais aimé parler tout le temps avec toi. On échangeait tellement de choses, et à chaque découverte se faisaient en moi des mouvements énormes et lents. Les murs qui cloîtraient ma vie se sont mis à se déplacer, les rocs qui semblaient si lourds se sont écartés, comme des rochers de carton-pâte que l’on aurait poussé d’une main sur une scène de théâtre. Jamais je n’avais assisté à une telle transformation en moi. Jamais de ma vie je n’avais autant parlé de ce qui se passait en moi. Je décrivais l’avancée de la transformation, les secousses, les doutes, les croyances, l’attente.

Car j’attendais. Je t’attendais. C’était donc possible ? S’enivrer à ce point de mots, être assez seule, assez libre, pour s’enivrer de mots à en perdre la tête, et tout oublier ? Je brûlais. Du désir de te voir, et toi aussi tu brûlais du désir de me voir. Ce n’est pas tous les jours que l’amour frappe à votre porte, sortant de mots, de milliers de mots échangés et touchants, et que les touchant on touche à un rêve.

Alors tu es venu. Tu te rappelles ? Tu es venu. Et la peur avec toi, la peur de tout ce que ça voulait dire. Nous n'avions plus de pensées, nous n'étions plus qu'un corps, un corps en vrille, désireux du contact, atteindre cet autre corps, toucher cet autre corps, comme des rameaux qui s’enlacent et s’emmêlent sans qu’on n’en voit plus le début. Désir, désir, tu as tout occulté.

Sommes-nous donc si familiers de la mort et du deuil pour pouvoir ainsi mettre une croix aussi vite sur ce qui a été ? Est-ce toi qui, trop bien, a su ne pas t’attarder, ne pas t’attacher ?

Et comme, parfois, sur la stèle des tombes on suit du doigt l’inscription du nom de nos aimés, j’ai suivi tes mots avant de les brûler. J'ai tout brûlé. Nos pensées, tout ce qu’on a vécu, senti, touché.

Quelquefois, par-dessus la tombe, on se fait un signe, tandis qu’un vent tiède renverse dans l’allée un vase rempli de mauves fanées.

 

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13 juillet 2014

Ze réponse

Eh oui, bravo à ceux et celles qui avaient trouvé : ce sont bien des frites qui étaient contenues dans le carton, oui! mais des frites du Nord ! ma fille ne connaissait que les bêtes frites parisiennes alors franchement il fallait combler cette lacune .... elle a aussi pris des fricadelles mais comme vous voyez ou plutôt comme vous ne voyez plus ==> elles ont déjà été englouties!

Ben quoi ?

L'air de la mer,

ça creuse!

12 juillet 2014

Y a-t-il un informaticien dans la salle ?

Bonjour mes amis,

bon eh bien c'est officiel, CB bug. Ou alors c'est moi! Je n'arrive pas à accéder aux commentaires sur "Devinette maritime". En +, la liste des commentaires et des messages sur le côté s'affiche au petit bonheur la chance. Mon blog est hanté !

Ça me rappelle mes débuts. Mes débuts sur le blog, veux-je dire. Mon Dieu, qu'est-ce que j'ai pu trépigner! C'est très désagréable de ne pas comprendre, et le pire de tout c'est que ça m'arrive tout le temps!  Quelle idée aussi d'utiliser des mots comme "frame", "cookies", "Applets Java" et autres "feuilles de style CSS".  Franchement ? Ça vous parle à vous, ces mots-là ? Que dois-je faire pour que vos merveilleux commentaires m'apparaissent ? Est-ce que ça vient de l'ordi, de canablog, des Iframes, des tableaux ? Et si je fais quelque chose et que c'est pire qu'avant ?

Bon, eh bien en attendant l'illumination, je retourne dans mon administration histoire de relire vos réponses et de lever le suspense.

 

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