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"Cent" blog fixe

10 décembre 2014

Tout petits

Je crois bien que je suis en train de me constituer une belle collection de photos d'églises ...

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une de celles de Beauvais qui était ouverte (église St Étienne)..

On se sent bien petits, hein?

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pour une fois, j'y ai croisé Jésus ailleurs que sur sa croix!

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le baptistaire, qui est dans une "pièce" à part..

alors le truc de fou là-dedans, quand on touche les murs, les colonnes

c'est mouillé! On a l'impression de toucher de la craie!!!

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impression confortée quand on lève le nez et qu'on voit que

le plafond se fissure de partout (les murs itou)!!!!

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Vite vite, tous aux abris!

(dehors en l'occurence!)

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9 décembre 2014

Promenade en Beauvaisis

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Vous avez vu la façade de cette maison?

Surprise!!! À Beauvais, des comme ça, yen a plein!

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Ma soeur aurait-elle sévi par ici?

(oui, car ma soeur, figurez-vous qu'elle mosaïque toute sa maison!)

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Sympa cette charcuterie non?

Ça donne presque envie de charcuteronner!

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Là c'est la cheminée qui m'a attiré l'oeil

oui parce qu'évidemment, je marchais le nez en l'air

en tentant de ne pas m'étaler,

sinon ça aurait perdu de son attrait...

 

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Romantique à souhait!

C'était peut-être un artiste amoureux qui sait?

8 décembre 2014

Ne cherchez plus...

.... Je l'ai trouvé!

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 TADAM!

8 décembre 2014

Drôle de crucifix

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6 décembre 2014

Parlez-moi de lui

Parlez-moi.. parlez-moi, les filles.. Dites-moi comment il est, l'homme qui vous fait craquer, qui toujours va vous toucher en plein coeur ...

Est-ce une question de physique, y êtes-vous sensible ? est-ce plutôt son comportement, son attitude ? ses mots peut-être ? paroles paroles ...

Et vous Messieurs, la "femme de votre vie", celle qui tant vous séduit, comment est-elle?

 

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6 décembre 2014

Doudiou dixit

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6 décembre 2014

Rose

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4 décembre 2014

Gourmande

J’aurais aimé connaître un Noël en Allemagne. J’aurais aimé participer à cette fête là-bas, parce que le peuple allemand, en tout cas celui que j’ai connu, est chaleureux et accueillant (déjà à l’époque je me disais que les Français devraient en prendre de la graine !). Mais bien entendu, ça ne s’est jamais fait, car Noël est une fête familiale.

La première fois que je suis allée chez ma correspondante allemande, c’était aux vacances de Pâques. Mes parents m’avaient accompagnée en voiture afin de pouvoir faire la connaissance de la famille de la jeune fille. Rien que de très logique, j’avais quatorze ans. Rassurés à juste titre sur la famille en question, ils m’avaient laissée les fois suivantes y aller en train… vous savez, ces trains à vapeur qui, dit-on, faisaient Tchoutchou comme dans celui d’Interlude… Ben oui, j’ai dû monter dans un de ces derniers trains!

Mes séjours là-bas étaient absolument magiques. Jutta habitait un petit village typique, pas loin de la Forêt Noire et du Lac de Constance. Les maisons étaient à colombage et les fenêtres fleuries. Tous les gens se saluaient, "Grußgott !".

Aux vacances suivantes, Jutta était venue en France et l’année d’après de retour chez elle je découvrais mon premier flirt, mon premier baiser, je l’ai déjà raconté, il s’appelait Bruno, il était blond et super gentil. Je ne peux pas dire qu’on "sortait ensemble"… On reprenait juste l’histoire (enfin, le baiser) là où on l’avait laissé au séjour d’avant, mais sans rien se jurer ni se promettre. D’ailleurs on ne s’est jamais écrit, je n’étais pas amoureuse de lui et lui non plus sûrement, peut-être voulait-il juste une Française dans son palmarès ? J’en aimais un autre, et même deux (Franz en Allemagne et Yvon en France), c’était ma grande spécialité de sortir avec un mec et d’être amoureuse d’un autre, enfin de plusieurs ! Mais toutes les filles font ça non ? Elles ont plusieurs béguins à l’adolescence ? Misère, béguin ! Qui connaît encore la signification de ce mot ?

Bref, revenons à nos moutons. Les parents de Jutta étaient assez âgés, ou alors c’était les miens qui étaient très jeunes. Jutta avait un (très) grand frère (plus de vingt ans), aussi blond que sa sœur était brune. Il s’appelait Reinhold (Reines, prononcer Raille-neuss). Il me charriait tout le temps ! Gentiment bien sûr! Je précise qu’à cette époque j’étais timide. Ben oui !!! Enfin timide, peut-être pas, disons que par l’éducation que j’avais reçue j’étais craintive, surtout vis-à-vis des hommes, et je rougissais hyper facilement. Or donc, avec Reines, je passais mon temps rouge comme une tomate parce qu’il me disait des choses en souriant et en me regardant, je ne le comprenais pas mais ses yeux étaient plutôt expressifs et coquins.

Alors sinon, le truc qui m’a durablement marquée, c’est la cuisine allemande ! Ouaoh ! Qu’est-ce que c’était bon !! Aucune idée de ce que je mangeais, trop différent de ce que Maman préparait, surtout que ma mère avait carrément rayé de ses recettes divers aliments qui, disait-elle, lui rappelaient la guerre (topinambours, potiron, que je n’ai découverts qu’adulte) mais purée, que c’était bon !!!!

Or donc, chez Jutta, première surprise du jour, le p’tit dej (Frühstück). N’allez pas croire que débarquant dans la cuisine avec les cheveux dressés comme un soleil autour de la tête j’allais boire du café au lait et manger une tartine. Que nenni. Sur la table s’étalait un véritable repas composé de charcuterie et de fromages, avec plein de pains de toutes sortes. Je ne me rappelle pas s’il y avait du café, j’étais déjà assez secouée par ce ptit dej atypique surtout que je n’ai jamais beaucoup mangé le matin…

A midi on passait aux choses sérieuses, les repas commençaient par de la soupe (cela ne me dépaysait pas car c’était aussi comme ça dans ma famille suisse (soupe le midi au début du repas)). Donc là c’était des vrais repas, en plus comme ma mère celle de Jutta était une divine cuisinière et je me suis toujours régalée même si je n’ai jamais trop su ce que je mangeais. D’abord parce que les premières fois je ne parlais pas un mot d’allemand (mon père m’avait expédiée en Allemagne avant même que je commence à l’apprendre) et ensuite parce que quand j’ai commencé à me débrouiller avec cette langue ben j’avais d’autres questions à poser sur des sujets bien plus intéressants ...

Toutefois les jours où j’accompagnais Jutta à l’école, le repas de midi se retrouvait être un sandwich, pour la bonne raison que contrairement à chez nous les élèves Allemands avaient cours jusqu’au début d’après-midi (13 ou 14h) et qu’après il y avait les activités sportives (c’est en allant à l’école avec Jutta que j’ai connu Bruno qui était dans sa classe).

Le repas du soir, enfin, se prenait assez tôt (18h), et ressemblait assez à la table du matin (charcuteries et fromages).

Alors sinon pour l’après-midi (oui, parce que vous aurez peut-être noté qu’il n’y a pas des masses de dessert dans tout ça), la maman de Jutta confectionnait des pâtisseries. Trop bon ses gâteaux, une tuerie !!!! Pourquoi ne lui ai-je jamais demandé la recette ? Après on s’étonne qu’adolescente j’étais ronde comme une madeleine!!! Eh oui j’ai toujours été gourmande !

 

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2 décembre 2014

Les rêves les plus fous

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Bonjour mes amis,

Ça y est, le compte à rebours a commencé : dans trois semaines, c’est Noël !

Je l’ai déjà raconté, j’ai eu la chance de connaître de grandes fêtes de famille. J’y suis née, j’y ai été bercée, mes parents m’ont transmis cette chose qui n’a pas de prix, leur amour de la Vie. Oui, ils aimaient profondément la Vie, la chaleur humaine, les rires et les chansons, la bonne bouffe et le bon vin. Comme j’aime à le répéter, "c’était des bons vivants, d’ailleurs ils en sont morts" ! Mais bref, haute comme trois pommes j’ai connu les grandes réunions de famille et j’adorais ça ! Au début, la famille de mon père était distante, mais Maman m’avait raconté qu’elle avait eu vite fait de les mettre au pas, d’abord en allant voir régulièrement sa belle-mère toute étonnée vu que son propre fils passait souvent devant la boutique (ma grand-mère tenait une teinturerie) sans même aller l’embrasser, ce qui choquait beaucoup ma mère, toujours à enlacer la sienne. Or donc, ma famille paternelle avait été mise au pas, entendez par là invitée, conviée, accueillie, embrassée. Comment elle aurait pu faire, hein, la mère de mon père, quand mon oncle maternel, des mots flatteurs plein la bouche, l’invitait à danser, lui faisant venir des rougeurs de jeune fille et des frissons oubliés ? Car notre famille, c’était ça aussi, aimer les "pièces rapportées" comme les leurs. Si ma marraine avait une maison (construite et agrandie au fil des années par mon oncle lui-même), mes parents, eux, n’avaient qu’un petit logement deux-pièces dans lequel on vivait à cinq, mais ça ne les a jamais empêchés de recevoir les sœurs, les cousins, les oncles et tantes, les parents, et qu'on se retrouve je ne sais pas comment à je ne sais pas combien. Il n’était pas rare que ma mère et ma marraine qui étaient sœurs invitent chacune la belle-famille de l’autre, car quand yen a pour dix, yen a pour vingt !! On faisait des tables de fortune, on poussait les murs, on mangeait à la bonne franquette. Enfin même pas ! Ma mère était une excellente cuisinière, elle a grandi en Suisse chez sa tante qui faisait table d’hôte, no comment ! Elle faisait du tout avec du rien, elle nous gavait comme des oies. En fait, elle nous donnait à outrance ce qu’elle savait faire. C’était sa générosité. Et aujourd’hui, de cette générosité qu’elle nous a offerte, je la remercie du fond du coeur. Comme je remercie celle de mon père qui nous a appris à être forte et à ne compter que sur soi. Mais comme d’habitude, je digresse.

L’apothéose des réunions familiales, ça a été quand ma marraine, devenue chef d’entreprise à la sueur de son front et de celui de mes cousins, habitait dans un … ben oui, un château ! (mes parents et ceux de leur génération étaient encore de ce monde). Le château en question était flanqué d’une … Orangerie ! Rien que ça ! Du coup, les fêtes de Noël étaient vraiment magiques, exactement comme dans les rêves les plus fous. La salle était immense, tout en longueur se déroulait la table dressée, pailletée, dorée, avec des mets raffinés, des mets de fête ! Tout au bout de la pièce trônait un sapin immense et majestueux. La horde des enfants me rappelait celle que nous avions été, sauf que nous, on courait dans un garage, la seule pièce suffisamment grande pour accueillir les tréteaux qui servaient alors de tables.

A minuit, tadam ! Mon frère ou un de mes cousins tout de rouge vêtu toquait par l’extérieur à une des baies vitrées, tirant derrière lui un traîneau (un vrai !) où s’amoncelaient une orgie de paquets enrubannés. En une seconde, alors qu’il y avait plus d’une vingtaine d’enfants dans la pièce (rien que ceux de mes cousins étaient au nombre de douze), plus un cri ! Les petits s’approchaient alors, les plus jeunes effrayés par ce vieux surgi de nulle part se mettaient à hurler de frayeur tandis que les aînés essayaient de lui arracher la barbe pour voir qui se dissimulait derrière. C’était ensuite la pagaille la plus totale, agrémentée de cris de joie immédiatement suivis de danses jusqu’au bout de la nuit, et pas que des danses "de vieux" hein, ne croyez pas! Non non ! On dansait sur tout, tout en buvant du champagne… hmmm ! Et puis bien sûr, la traditionnelle soupe à l’oignon du petit matin ..

Dire que cette année, on sera sept. Sept, misère ! On tiendra tous autour d’une seule table !!!

Et vous mes amis, vos Noël d’antan?? Vos Noël d’aujourd’hui ??

1 décembre 2014

Sincérité

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(elle) Ça fait combien de temps que vous avez pas eu de mec, les filles?

(copine 1) Huit mois …

(elle) Huit mois !!!

(copine 1) Oh tu sais, moins je le fais moins j’y pense ! Et toi, combien ??

(elle) Huit jours …

(copine 2) Oh l’autre, eh !! Huit jours !

(elle) Ben quoi, j’ai un sex-friend !

(copine 2) Ça s’appelle un sex-friend quand ya pas de sexe ?

(copine 1, à copine 2) Pourquoi tu dis ça ?

(copine 2) Parce que son mec il a un p’tit problème… Disons qu’il ne fait que les préliminaires quoi..

(elle) Pas du tout, on fait tout!!!

(copine 2) Sauf la pénétration !

(copine 1) C’est un préli-friend, quoi..

(elle, à copine 2) Et toi, ton dernier mec ?

(copine 2) M’en parle pas... onze mois ...

(elle) Onze mois ??? Purée !!!!

(copine 1) Ça te déprime pas?

(copine 2) Je préfère pas en parler !!!

(elle) T’as pas des pulsions ?

(copine 2) Arrête, faut absolument que je me tape un mec et le plus tôt sera le mieux !!.. Je ne sais plus si je vous l’ai raconté mais l’année dernière j’ai fait un voyage en Inde…

(elle) Oui je m’en rappelle. Tu es revenue plus réfléchie, plus détendue..

(copine 2) Pas du tout ! Juste contente de rentrer !! Bref ! Là-bas, ma guide croyant me faire plaisir m’a emmenée me prosterner devant la déesse de la fertilité. Imagine la scène la plus absurde du monde, moi qui ai déjà trois enfants en train de balancer des pétales de rose à la déesse de la fertilité alors que je prends la pilule ! Depuis, plus rien ! Non seulement je n’ai pas d’enfant, ça encore je m’en fous vu que j’en veux plus, mais je n’ai plus de mec ! Je me demande si cette déesse ne m’a pas balancé une malédiction, plutôt … Elle a dû sentir que j’étais pas très sincère ...

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