Bonjour mes amis,

avez-vous bien dormi? Êtes-vous en forme pour passer une journée du tonnerre de Dieu? Mais surtout, avez-vous revêtu vos habits du dimanche? Parce qu'aujourd'hui, amigos, aujourd'hui nous rendons visite à une dame. Et pas n'importe quelle dame!

Allez hop hop!!! Regagnez le bateau les filles, on n'attend plus que vous qui vous êtes arrêtées (à la majorité moins un, bande de coquines!) à l'escale précédente, et commencez à braquer vos jumelles par ici...

Et maintenant,

hissez haut!

Les photos, ici!

Bonjour les amis!

C'est quand même phénoménal de se lever aussi frais et fraiches après autant de cocktails en happy hours, pas vrai? Qu'est-ce qu'on s'en est donné!

J'en ai vu certaines qui ne sont pas près d'oublier cette nuit, bien décidées à s'amuser! Et les messieurs... Rhôôôô... Rien que d'y repenser!

Aussi, quand on commence à être un peu pompette, z'avez vu, plus rien ne peut nous déranger! (Comment dit-on pour les hommes? Pompon? Chouchou-pompon?? LOL). On rit comme on n'a plus ri depuis longtemps!!! Ce que ça fait du bien!

Bon allez zou, aujourd'hui on va changer carrément de cap. Direction: la Suisse!

Hop hop!!! Café ou thé avalés? Sillons nasogéniens essuyés? Alors tout le monde sur le pont!!! Braquez les jumelles, zoomez.... Dites-moi tout les amis!!!

Qu'est-ce que vous voyez??

(Heu, pardon, je reprends:)

Qu'êêêst-ce que vous voOOâââyêêêz???

"C'est un trou de verdure où chante une rivière"....

Eh oui, me voilà promue faiseuse-réciter en chef d'un de mes petits-fils, dégouté de n'avoir eu que 7 sur 10 la dernière fois parce qu'il a débité sa poésie d'une traite (fi de la ponctuation). Ça pour ça, il la connaissait par coeur! Dommage qu'il n'ait pas repris son souffle!

Bon du coup ça me fait réviser des poèmes...

Aujourd'hui je vous mets une photo que certains d'entre vous connaissent déjà. À cette époque je faisais déjà réciter des poèmes, mais ce n'était pas à mes petits-fils!

Amis, que la journée vous soit douce!

Bonjour mes amis,

elle a l'air toute mimi comme ça, pas vrai? Eh bien ne vous y fiez pas! Hier, je l'ai vue et surtout très entendue se battre comme une tigresse contre un chat qui passait par là, pauvre innocent s'imaginant qu'il pouvait lui aussi se dorer la pilule dans mon jardin... Grossière erreur! Mademoiselle n'entend visiblement pas partager son territoire!

Mais peut-être aurais-je dû commencer par préciser qu'en fait, Kiritéa n'est pas ma chatte. Il y a environ 6 ans, elle a élu domicile dans mon jardin, et depuis, elle vient tous les jours, siestant sous mes thuyas et inspectant le contenu de la gamelle que je lui prépare. Parfois, elle fait la fine bouche et attend avec un air hautain que je me décide à troquer les croquettes contre un peu de viande... Quand le service est trop long, elle entre dans ma cuisine et vient miauler un coup...

Et oui, l'instinct de propriété, ce n'est pas réservé aux humains!

Belle journée à vous mes amis!

Bonjour à vous mes amis en cette mitan de semaine,

eh bien oui, Édith, tu as gagné! C'est bien du sel que le couple d'artistes australiens Ken et Julia Yonetani a utilisé pour réaliser ce dîner insolite, qu'ils ont appelé "The Last Supper", que l'on peut appréhender comme une représentation de la Cène (à laquelle j'ai tout de suite pensé en entrant dans la salle) tout autant que comme un message d'inquiétude, le leur, quant au monde que nous préparons à nos enfants...

© Ken + Julia Yonetani

<< "The Last Supper" est une sculpture de neuf mètres de long réalisée entièrement à base de sel. Cette oeuvre met en lumière les inquiétudes des artistes quant aux niveaux élevés de salinité des sols australiens dus en partie aux pratiques agricoles intensives.

Au lendemain de Fukushima et d’autres catastrophes environnementales, ce banquet gigantesque d’aliments de luxe devient une visualisation plus large des problèmes de sécurité alimentaire dans un monde de plus en plus toxique.

Comme l’expliquent les artistes : "Le sel est ici une métaphore de la mort de la terre, sacrifiée au nom de la production et de l’industrie. Le sel, substance sacrée qui assure la vie mais peut aussi inviter la mort, est utilisé ici pour montrer notre appétit insatiable de consommation dans ce qui orne nos tables au XXIe siècle."

© Ken + Julia Yonetani

Mes amis, faites vos courses en conscience, mangez en conscience, et passez une belle journée!

Elle reçoit un sms...

(copine 1, lisant à voix haute) Oh-oh ! "Comme il me tarde de t’enlever ta ridicule petite robe...."

(elle) Rends-le moi !

(copine 2) Et de qui est ce message ?

(elle) Personne!

(copine 1) C’est un mec trop bien pour que tu nous en parles?

(elle) Mais non... C'est juste qu'on se connaît à peine...

(copine 1) Ouais, à peine assez pour qu'il t'enlève ta ridicule petite robe !

(copine 2) Allez... Qui c'est?

(elle) Je ne suis pas prête à parler de lui!

(copine 2) Dis-nous au moins son nom..

(elle) ....

(copine 2, se tournant vers copine 1 qui a intercepté le msg) Le message était signé ?

(copine 1) Si on veut… C’était signé Footlong....

(copine 2) Footlong? Foot comme le pied anglais???? C’est une blague ?

(elle) Jamais je ne t’aurai crue capable de ça ! Ya donc rien de sacré pour toi????

(copine 1) Désolée, je ne vois pas ce qu’il y a de sacré dans un pseudo comme Footlong!!!!

(copine 2, se bidonnant) P't'être qu'il fait référence à la taille de ses sandwiches préférés ....

(copine 1, écroulée de rire) P't'être qu'il est amateur de cigares ?

(copine 2, s'étranglant presque) Encore que là, on est en droit de se demander QUI est l'amateur!!!!! LOL!!!!!

Bonjour mes amis, comment allez-vous?

Moi, très bien: mon fils est à la maison pour quelques jours et je suis "à la joie de mon coeur" (expression grand-maternelle, qui a autrement plus de classe, vous en conviendrez, que "je kiffe ma race"!).

Andiamo a raison: il fait super beau à Fort-Mahon, au Tréport et à Équihen où j'ai enragé de n'avoir pas emmené mon maillot ou même une robe!! J'en étais restée aux températures de la fois d'avant! Et là, contre toute attente, un soleil magnifique sans le moindre zéphyr!!!!

Je ne vous dis pas la-frustration!!!!!

Bilan, quand on est passés à la friterie de Fort-Mahon où on à l'habitude d'aller c'était fermé! Pareil pour les restaus qui remballent à 21h, ou était-ce 22h? Bref la Côte d'Opale c'est pas Paris! On s'est rabattus sur le Mac Do de Berck, si c'est pas malheureux de venir jusque là pour aller au Mac Do! Enfin c'était pas l'avis de Gazelle, (c'est comme ça que mon fils appelle sa chérie) elle était ra-vie, elle adore ça!!!! (BEURK!!!). Ces jeunes, 'ne savent pas ce qui est bon..

Ci-dessous, vu sur la plage:

ça me fait penser à une méduse...

Gazelle pense que c'est une algue...

Et vous?

Il y a une chanson que mon fils écoutait il y a quelques années et que j'aimais beaucoup, il s’agit d' "Avant qu’elle parte".

Avant qu’elle parte, dis à ta mère que tu l’aimes.

Dis à ta mère que tu l’aimes. C’est quelque chose que je n’ai pas fait assez, ou plutôt que j'ai fait, mais mal.

Je pense à elle, je la revois sur son lit d’hôpital, je me rappelle le moment où ma sœur était sortie de la chambre pour aller boire un café et que j’étais restée près d’elle en lui serrant la main, cette main qu’elle avait si petite et si fine. Aujourd’hui, quand je pense à elle, je vois ses mains de petite fille. Et surtout, je vois son chagrin. Celui d’avoir eu un fils qui n’était pas le fils qu’elle avait tant espéré. Ça l'a minée de l’intérieur, lentement, occultant tout le reste. Je commence à avoir une idée infime de ce qu’elle a pu ressentir tout au long de sa vie. Elle avec son idéal avorté de Fils Parfait. Ce Fils tant attendu tant adoré qu’elle n’a jamais eu, en réalité. Elle qui si souvent avait des "contractions de l’oephage" comme elle disait, elle contractait même le mot. Elle et ses sensations d’étouffement, l’air ne passait plus, elle allait le chercher Dieu sait où, et rien. Tout restait en dedans, toujours. Elle lâchait rien ma mère, purée, elle lâchait rien !!! Mais à ce moment-là, je ne pensais pas à ça. Je voulais seulement qu'elle m'aime, je voulais seulement qu’elle me parle. Je ne voyais pas sa souffrance, je ne voyais pas sa détresse. Je ne voyais que les mots qu’elle ne me disait pas. Et je lui en voulais.

Maman est tombée dans le coma le jour de naissance de sa propre mère. Elle est morte deux jours après. Et je n'avais pas réussi à lui demander pardon.

Et puis il y a eu les lettres. Les lettres qu’elle a écrites à mon père lorsque, comme tant de tout jeunes hommes, il est parti en Algérie. A ce moment-là, Maman était enceinte de ma sœur.

Et c’est seulement là, au milieu des mots qu'elle égrenait pour lui, que j’ai senti sa peur, la terreur ronde qu'elle avait que l'histoire se répète, qu'elle aussi comme sa mère et sa grand-mère perde l’homme qu’elle aimait et se retrouve seule avec ses filles. Cette peur de perdre ne l'a jamais quittée.

Je ne savais pas maman. Je ne savais pas cette peur qui t'a hantée. Je t'en ai tellement voulu! Je te voyais toujours comme la jeune maman que tu avais été, je ne te voyais pas comme la femme fragile que tu étais devenue. Mais aussi, nous étions tellement fermées... Toi sur ces choses que tu ne disais pas, moi sur ces choses que je disais trop.

On ne sait jamais rien des choses, on ne sait jamais rien de rien, et c'est ce que ta mort m'a appris.

La langue italienne me fait fondre comme de la crème. Ça vient d’un béguin de vacances de mes tendres années, il s’appelait Ugo, c’était un Italien, un Italien de l’Italie, ce pays plein d'odeurs, de couleurs merveilleuses, ce pays qui était la passion folle de mes parents .. L’Italie, c’était notre Eldorado, je me rappelle après avoir franchi la frontière, gamine, je me ruais sur le sol pour l’embrasser, oh que je t’aime Italie que je t’aime !  Je me relevais les doigts pleins du goudron fondu par la chaleur. A cette époque, passer la frontière c’était pas rien, une file interminable de voitures qui attendaient leur tour, Papa au volant de sa 404, la remorque aux fesses, même qu’une fois il a fallu tout déballer, absolument tout, et comme il n’avait rien trouvé, le douanier s’en était pris à mon petit carnet, sauf qu’à cette époque je ne savais pas écrire, alors lui, il a cru que tous ces signes c’était des codes, qu’on était des espions ou quelque chose du genre, mes parents s’étaient étonnés de ce professionnel acharnement, mais rien n’a jamais pu entamer leur joie de partir et ils avaient remballé la remorque et mes carnets éparpillés en sifflotant ..

Ma mère, un vrai sirop de la rue, à 16 ans le sac à dos avec sa petite tente, après elle a contaminé mon père, lui qui ne connaissait que ses Sables, elle ne vivait que pour les vacances.. On partait les deux mois direct, juillet avec ma mère seulement, on n’allait pas loin pour que papa puisse nous rejoindre le week-end, août c’était les congés du père et c’est là qu’on partait pour l’Italie, toujours quelque chose qu’on n’y connaissait pas, et même si on connaissait on y retournait parce que c’était tellement beau, l’Adriatique et le ciel bleus à l’infini ! Les cloques qu’on se chopait au soleil, la peau du dos en lambeaux, impossible d’y poser le drap de couchage ! Trois jours plus tard on était cuits comme des pains d’épices, et à peine in piedi on courait trois, dix fois jusqu’à il Mar Adriatico, ce qui fait que tout le temps on avait du sel sur les bras à lécher avec délice ..

 Rimini

Venise

Il deserto

Paestum

Pompéï

Vésuve

champ de lave au pied du Vésuve

Iesolo

Alors le Ugo, était-ce à Fano, à Rimini, à Serigalia ? Je ne sais plus, je me rappelle juste de mes 13 ans, de ses 18, du petit bal dans la nuit tiède et parfumée, ma tête posée dans le creux de son cou et ses mots qui s’égrenaient, toutes ces choses qu'il m'a dites comme des cadeaux précieux, du miel sur ma peau des caresses de plume, il me déshabillait de mots pour me vêtir des siens, et ça éclipsait tout, ça bruissait, je faisais un pas, ça ondulait, un peu d’élan et je me serais envolée … Alors forcément, j’avais bien été obligée de gémir et de gémir encore, alors évidemment mes jambes avaient ployé et toute ma vie avec, je me tenais aux mots, à ses cheveux dorés qui sentaient si bon, je les tenais fort comme une rassurance dans cette perdition, et je respirais à petits coups, pour trouver la force de ne pas être forte, de n’être rien, rien qu’une petite nana recroquevillée dans des mots …

(elle) Trop mal dormi, ras-le-bol !

(copine) À cause de la chaleur ?

(elle) Non, à cause de mon coloc ! Il est rentré avec une fille hier... J’avais fini par m’endormir, quand j’ai entendu des bruits bizarres, ça m’a réveillée !

(copine) Des bruits bizarres ??

(elle) Oui, des bruits bizarres !! J’me suis dit: "Est-ce que j’interviens, est-ce que j’interviens pas ?" C’est vrai quoi, on la connait pas, cette fille... Mais bon. Je crois qu’ils devaient se donner la fessée...

(copine) Ah oui?

(elle) Ou alors c’était un martinet ...

(copine) Ah ?

(elle) Ou les deux... En tout cas ils criaient pas en silence !

(copine) Ah ?

(elle) Bah tu sais, il est un peu SM, enfin gentiment quoi... Ça me rappelle, quant il était encore en couple, pareil une nuit j’entends des trucs bizarres ! J’me dis "J’interviens ou j’interviens pas ?"... Heureusement que chui pas intervenue : il se faisait épiler, LOL !

(copine) Ya qu’un mec pour avoir l’idée de se faire épiler par sa copine!! .... La fille d’hier, elle est encore là ?

(elle) Je crois que oui. Tu penses, après la nuit qu’ils ont passée ! Tu verrais, elle est toute mignonne, salopette, petites couettes.. Enfin, toute mignonne ....en apparence !

Bonjour mes amis,

j'espère que vous vous portez bien en ce début de week-end à la météo mi-figue mi-raisin, en tout cas pour ce qui est de la région parisienne.

Une petite devinette visuelle pour commencer ce samedi dans la joie et la bonne humeur:

Quid? Qu'est-ce? Que voyez-vouje?

[Un intrus s'est logé sur cette image. Trouvez-le!]

Pour ma part, c'était ma première fois

(je parle de cette bizarre végétation maritime!)

Alors? 

Ça vous inspire?

Bonjour mes amis,

aujourd'hui, je vais vous présenter une partie de ma famille..

ma fille aînée, que vous avez souvent croisée sur ce blog

mon deuxième petit-fils

le plus jeune (à gauche)  et l'aîné (à droite)

et ma fille cadette,

tout ce petit monde m'ayant, dans un esprit de famille merveilleux, accompagné à la piscine il y a deux jours.

À part ça, malgré les belles promesses de Météo France, pas la moindre petite goutte de pluie.

 Et pour vous mes amis,

comment se passe l'été?

Bonjour mes amis,

j'espère pour vous que vous aimez la chaleur, moi pas trop alors vous apprécierez j'espère l'effort que je fais de m'extirper de ma léthargie pour venir vous faire un petit coucou en ce dimanche é(pous)touff(l)ant!

Je vous agrémente le tout d'illustrations d'un autre coin, pour changer un peu de la mer! Devinez où c'est, pour voir? (Celui qui sait ne dit rien sinon il a un gage!)

J'adore les escaliers, on se demande vraiment pourquoi vu qu'avec moi, escalier = gadin!

Je termine avec mon nouveau toc photographique...

... Mon fils, sa chérie et Fille Aînée (le visiteur attentif remarquera que pour son plus grand désespoir, mon fils a hérité de mon GDF...) 

Mes amis, que la fin de dimanche vous soit douce!

Prenez soin de vous et de ceux que vous aimez!

Bonjour mes amis,

ce n'est pas pour la qualité de la photo, mais pour le partage de l'émotion offerte par ce spectacle gratuit de la Nature elle-même: coucher de soleil, quelque part dans la Nièvre. Une éolienne, pour changer un peu de la mer. Vous ne pourrez pas dire que je ne vous fais pas voir du pays!

Mon fils a eu bien raison, finalemement, de partir là-bas... Ça change un peu de l'Île-de-France, même quand, comme lui, on se dit 100% Parisien!

Et vous, mes amis quel est votre "spectacle gratuit"? Votre moment gratuit, votre moment de bien-être? Ou de mal-être, si vous avez envie de le partager....

Comment allez-vous?

Parlez-moi de vous...*

* sur l'air d'une chanson de Nicole Croisille que j'ai écoutée en boucle quand j'étais jeune!

L’autre nuit, je dormais du sommeil de la juste lorsque je suis réveillée par un vlaaaaaaaa-paf ! (bruit de quelque chose qui tombe de haut). Peut-être est-ce le chat de mon fils (en villégiature ici quelques jours) qui fait son foufou, me dis-je. J’allume (il faut dire que ma chambre, c’est un bazar sans nom ! Je dors entourée des livres que je suis en train de lire (au nombre de sept), de mes manuscrits en cours (éparpillés au pied du lit), de l'ouvrage sur mon histoire familiale pour ma tante maternelle - 83 ans cette année - que je suis en train de reprendre (je parle du livre, pas de ma tante, qui vient de décider d’écrire ses Mémoires et m’a pour ce faire réclamé mes notes cinq fois en deux jours, ce qui tend à prouver qu’elle commence à la perdre un peu, sa mémoire - ceci dit en toute affection). Je ne parle pas non plus des divers doudous dont je m’entoure pour me sentir moins seule la nuit et que le chaton de mon fils affectionne particulièrement. Je pense notamment à un truc que ma fille aînée m’a donné, tout doux avec des pompons, le chat en est tombé fou amoureux ! Hier il s’est lové dedans avec des cœurs dans les yeux et à force de le voir tournicoter dessus et miauler dès qu’on approchait on a fini par comprendre qu’il était en train de se taper toutes les positions du Kama-Sutra-des-chats avec mon châle du soir ... Après quoi, repu, il s’est roulé dedans en tétant les pompons ...

Or donc, vlaaaaaaaa-paf ! entends-je cette fameuse nuit. J’allume, et que vois-je ?

Rien.

Donc j’éteins et je redors.

Peu après, re-belote : vlaaaaaaaa-paf !

Je rallume, je me lève, je fais le tour de la chambre (super vite fait étant donné que 1) la chambre est petite et que 2) elle est très encombrée).

Eh bien, rien à voir avec le chat : deux de mes livres avaient chu du haut de l’étagère.

Or, voyez-vous, le haut de mon étagère a un rebord. 

Ce qui veut dire que les livres ne peuvent pas tomber comme ça bêtement.

Il n’y a qu’une explication possible: ils se sont jetés par-dessus bord! Mes livres ont voulu attenter à leurs jours!

En les ramassant pour les remettre sur l’étagère j'ai vu leur titre...

 et j'ai tout compris ....

Mes amis, je crois que je suis malade. 

Tout a commencé le jour où mon APN s'est noyé [voir ici, pour ceux qui auraient raté cet épisode merveilleux de ma vie palpitante].

Eh bien depuis ce drame, je ne fais plus de photos.

Je m'en suis rendu compte véritablement hier, alors que j'étais avec mes petits-fils (en vacances chez leur mère).. Ils m'ont tellement manqué..

Normalement, j'aurais dû prendre 300 photos d'eux (minimum!!).

Ben même pas. Et non seulement pas, mais ça ne m'est pas venu à l'idée! Il a fallu qu'ils me demandent, eux, que je les photographie! Vous le croyez, ça? Qu'ils me demandent! D'habitude, ils me supplient d'arrêter!

Pourtant, j'ai un nouvel APN. Tout bel, rose et joufflu. Un beau bébé.

Je ne vois qu'une explication: je suis malade...

Snif.

Bien le bonjour mes amis en ce matin d'avril,

un ciel couvert aujourd'hui comme annoncé par Madame Météo, ce qui n'empêche pas les oiseaux de chanter (voilà bien une chose qui me met d'excellente humeur que d'être réveillée par le chant des oiseaux!). Et puis les arbres sont en fleurs, avez-vous remarqué qu'un beau matin vous vous êtes réveillés et paf, d'odorantes grappes blanches, roses, fuchsias avaient surgi de nulle part? N'est-ce pas fabuleux? Presque autant que mon post d'aujourd'hui dans lequel je vais vous présenter un autre vieux de la vieille (entendez par là un de mes premiers contacts sur internet) (heureusement pour lui, ça n'a pas été l'inverse car sinon, pas sûr qu'il aurait persisté dans cette voie, LOL!!!).

Alors mes amis, le plus grand drame de cet homme, voyez-vous, c'est que nos chemins se soient croisés alors même qu'il n'avait déjà plus un poil sur le caillou. Quelle inconscience!!!! S'il avait su....

Mais évidemment, il ne pouvait pas savoir. Personne ne pouvait savoir que son dur karma en ce monde serait d'essayer de faire entrer inlassablement dans ma cervelle de moineau (ou de poisson rouge, c'est selon) ce que peut bien être un "navigateur, une "extension" (ah bon? C'est pas une mèche de cheveux?) et je ne parle pas du "bureau" que j'ai cherché en vain pendant des années, le croyant monté sur quatre pieds comme tout le monde!

L'ironie de l'affaire c'est que des cheveux, il en avait suffisamment pour se les arracher allègrement par touffes entières chaque fois qu'il m'expliquait quelque chose!!! Il en avait même sur la figure!!! Voyez vous-même!!!!

Enfin bon, la vie n'est pas juste, c'est pas à vous que je vais apprendre ça!

Allons, n'y pensons plus, il doit être fier de lui vu que maintenant je suis une super pro!!!! Enfin, une pro en boudisme (du verbe bouder)... Oui ben on fait ce qu'on peut!!!!

Mes amis, je vous souhaite une belle journée!!! Et même s'il pleut, gardez le sourire!!! La pluie, c'est la vie!!

Et comme d'hab, retrouvez les photos ici!

(elle) Hier j’ai eu une brusque envie de manger du pain d'épices! J'en avais pas fait depuis vingt ans ! L'occasion de liquider mes fonds de placards, comme quand je fais ma soupe jifoutou..

(copine 1) Jifoutou !!! Haha elle est excellente celle-là !!!

(copine 2) Et t’y fous quoi dans ta soupe jifoutou ?

(copine 1) Ben, tout !

(elle) Tous mes restes quoi...

(copine 1) Avec moi ça serait plutôt la soupe céfoutu !

(copine 2) Moi c’est des plats jifoutou que je fais, histoire d'utiliser les restes sans gâcher!! Et puis j’aime créer.... Du coup il y a des recettes que j’invente, les gens leur donnent même un nom et me les réclament, c'est marrant !

(copine 1) Oui alors, ton pain d’épices ?

(elle) Ben il me restait un fond de farine de sarrasin que j’avais acheté pour faire des galettes et un fond de farine de maïs pour les taloak...

(copine 1) C’est quoi des taloak ?

(elle) Des galettes basques…

(copine 2) Au fond, chez toi ya que des fonds …

(elle) J'avoue ça fait beaucoup de fonds, mais bon c’est un peu le principe ! Oui donc j’ai complété mes fonds de farine avec de la farine blanche, j’ai rajouté de la levure, du sucre vanillé, de la cassonade...

(copine 1) T’avais des fonds d’épices ? Parce que du pain d’épices sans épices…

(elle) Ben oui : j’ai mis du gingembre, de la cannelle, de la muscade et une cuillère à café de quatre épices. Je voulais mettre de la badiane, mais elle était entière et je n’ai pas osé la moudre !! J’aurais bien mis aussi de l’écorce d'orange, mais j'ai oublié de la rajouter, tant pis!

(copine 2) Ya pas du miel dans le pain d’épices ?

(elle) Si-si ! J’y viens ! Donc pour le miel, j'ai fait les fonds de pots : du miel de fleurs sauvages  et du miel de pissenlit, je les ai fait chauffer avant de rajouter au mélange. Ensuite, deux oeufs et un fond de lait et hop, au four!

(copine 1) Oh bah moi j’ai pas de four...

(copine 2) Moi non plus j'ai plus de four ... Juste mon micro-ondes, mais j'ai jamais essayé d’y cuire un gâteau ... À combien de degrés tu mets le four ??

(elle) Cent soixante à peu près, c'est au gaz et j'ai laissé quarante minutes... Je fais à l'oeil en général ...

(copine 1) Des fonds à l’œil ? LOL!!!!

(elle) Ouais ben tu peux rigoler, aujourd'hui il est encore meilleur, il commence à être rassis ! Faudrait en faire un et l'oublier au moins une semaine !

(copine 2) Ah mais la cuisson au gaz me va très bien !! Tiens je vais la faire ta recette... Je dois avoir de l'anis... Je me demande même si je n'ai pas des graines de fenouil qui traînent...

(elle) Du fenouil ? Heu..........

(copine 1, à copine 2) Du fenouil? T’as pas peur que ton pain d'épices sente la soupe ?

(copine 2) Ok, ok, je vais pas mettre de fenouil... Pff. Ceci dit le légume vert et les graines séchées, c'est pas pareil !

(copine 1) Franchement le fenouil, pour un gâteau  j’le sens pas ....

(elle) Remarque, je n'ai jamais goûté de graines de fenouil séchées.... Je ne voudrais pas priver le monde d’une grande création culinaire !

(copine 2) Oui bon ça va, JE VAIS T'ÉCOUTER ! C'est quand même toi la spécialiste du pain d'épices jifoutou!!

(elle) Ton fenouil me fait penser à quand j'étais allée en classe de mer, j'avais neuf ans ... Le long d'une haie, il y avait des plantes qui sentaient trop bon l'anis, en fait c'était du fenouil sauvage... Dès qu'on y passait, je plongeais le nez dedans!! >>>> soupir de nostalgie <<<<<

(copine 2) Moi c’est le pain d'épices qui me replonge dans l'enfance.. >>>> soupir de nostalgie <<<<<

(elle) C'est vrai que ça fait partie des trucs d'enfance....Le pudding que ma mère faisait avec le pain rassis.....>>>> soupir de nostalgie <<<<<

(copine 2) Le pudding au pain rassis, mmmhh.. Chez nous, on a toujours fait le "pain perdu" (à l'espagnole ça déchiiiire !!!).. Justement, là, j'ai du pain rassis à faire, je vais faire un pudding, tu m'as donné envie et ça va changer du "pain perdu" !!

(copine 1) Le pain perdu j'adore!! Mon fils aussi d’ailleurs il m’en réclamait tout le temps !!! Et quand j’ai eu mes petits-fils à Halloween je leur en ai préparé, figurez-vous qu’ils n’en avaient jamais mangé !!!

(elle) Ah oui ??? Remarque ça ne m’étonne qu’à moitié, avec tout le gâchis que tout le monde fait maintenant ...

(copine 1 à copine 2) À l'espagnole, c'est différent de l'habituel??

(copine 2) On met tout pareil, mais pas que .. ^^

(elle) Ah ? T'y mets quoi en plus dans ton pain perdu?

(copine 1) Un fond de gaspacho?

(elle) Un fond de chorizo?

(copine 2) Si vous êtes sages, je vous filerai la recette... Si vous êtes sages ....

L'érable pour Angèle

Celui-ci, tout le monde le connaît, enfin je pense!

Des mélèzes

Encore des mélèzes

Aulnes et charmes

Des bipèdes (rien n'est parfait!!)

Des cunni.....nghamia

Ça vous dit de finir avec une petite devinette?

Cet arbre est miam-miam et glouglou, puisqu'avec son fruit on peut faire....

(Cath-Pénélope si tu me lis et que tu sais, ne souffle pas s'il te plaît! ;-))

Belle journée à tous!

☻♥☻
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♥.  ||.  ||  ♥

 Bonjour mes amis !

Je vous souhaite la bienvenue en cet espace, je compte y partager de bons moments avec vous.

Bon Ok pour l'instant c'est un peu tout nu mais on va s'arranger pour que ça ne dure pas !

De quoi pourrais-je bien vous parler pour commencer ?

Tiens, si on parlait de nous, les femmes ? Je veux dire, de notre position, de la façon dont certains hommes se comportent avec nous alors que généralement on est super belles et gentilles et aimables et que la seule chose qu'ils devraient faire c'est nous aimer et être aux petits soins pour nous ? Hein ??

Alors déjà, une petite leçon d'histoire (j'adore l'Histoire, vous noterez).

Je vous emmène aux environs de l'an mille. A l'époque, les femmes étaient des biens meubles. Exactement comme les enfants, les paysans, les animaux et les tabourets. On les vendait, on les offrait, on les v(i)olait et on s'en servait comme bois de chauffe avec un grand naturel. Pour les hommes, demander son avis à une femme au sujet de quoi que ce soit aurait été aussi incongru que si on demandait à notre chaise l'autorisation de nous asseoir dessus.

Des fois, je me demande ce qui a vraiment changé là-dedans ..

En ce moment je me sens moche. Je me disais que ça devait être lié au bras que je n'ai pas, je parle du bras d’un homme bien sûr. On ne parle jamais des bras, vous savez, ces trucs faits très précisément pour que les jours "sans", on puisse y déposer ses petites fatigues et ses gros chagrins. Un bras qui entoure et enveloppe, un bras dur et doux à la fois. Un peu comme le sucré-salé en cuisine. Car oui, un bras d’homme c’est du sucré-salé. Ferme et dur, mais pas une dureté qui fait du mal. Une dureté qui fait du bien. Qui rassure. Qui éblouit. Qui vous tient et vous caresse en même temps, qui vous fait tout oublier, les lombaires ramollos et le dos qui fait mal, oublier les coups de vieux, enfin plutôt les coups de vieille, parce que d’un seul coup vous êtes livrée à un duo de bras doux et musclés, si longs qu’ils font plusieurs fois le tour de votre personne.

Seulement voilà, je ne supporte plus qu’on me touche. Alors je me suis dit comme ça, ça doit être leur regard. Leur regard qui me manque. Au moins un. S’il te plaît monsieur, regarde-moi ! Parce que je voudrais pas dire, mais j’ai toujours la même bobine. Et puis je suis toute fine. Super svelte la nana. Alors quoi ? J'en fais quoi si ya pas de mains pour me serrer ?

Et puis je me suis rendue compte que non, tout ça c’est du blabla.

C’est juste mon regard sur moi. Je me trouve moche, voilà.

C’était le coup de blues du vendredi matin ! Amis de la déprime, bonjour !

Hier, entre deux averses de grêlons, je suis allée voter.

Le ciel était bleu, aussi bleu que mon état d’esprit qui se rapprochait de l’euphorie tandis que je marchais – pourtant, je venais de lire le dernier post d’Alain, ce qui m'avait un peu décontenancée.

J’ai le droit de voter. Je suis une femme et j’ai le droit de voter. Combien de femmes dans le monde ont cette possibilité ?

Or donc, je suis allée voter.

Le ciel était bleu, et mon cœur ensoleillé.

Il y a quelques jours, alors que j’arrivais à la fin du mangeage d’un quignon de pain rassis que je faisais couler avec un demi-verre d‘eau sans sucre ajouté, j’étais plongée dans des questionnements profonds et néanmoins avisés du genre "Que cuis-je ? que mange-je ?" lorsque soudain, j’entends un toctoc très net.

Qu’ouïs-je ? me dis-je avec un très léger zeste de curiosité.

À ce stade, je pense que vous auriez fait comme moi : vous seriez allé ouvrir la porte.

C’est ce que je fis.

Et là, que vus-je ? mon facteur préféré qui, bien que je ne le susse pas encore, me tendait la réponse à toutes mes questions.

Vous me direz : ça arrive tous les jours que des gens frappent à la porte pour vous donner un pitit paquet. Surtout ceux qui sont facteurs. Ya pas de quoi en faire tout un fromage. Tous les jours des facteurs frappent à des portes.

Je vous arrête tout de suite : il n’avait pas seulement frappé à la porte.

Il m’avait apporté un morceau d’éternité.

Un CD d‘éternité, même, pour être précise. Eh oui, des choses qu’on se doute même pas qu’elles existent, voilà qu’elles existent tout soudain. On se sent touchée par la grâce. On se sent miraculée. Alléluïa. J’avais entre les mains un truc miraculeux qu’Elsa, mon double, mon alter égale m'avait envoyé de toute la force de ses petits bras dorés alors que si ça tombe, elle voulait le garder pour elle toute seule. Je parle du monsieur dans le CD. Vous allez comprendre tout de suite.

Il faut que je vous précise tout d’abord qu’il s’agit d’un CD de zénitude. Encore qu’on se demande comment il se fait que quelqu’un qui se dit votre amie puisse penser une seconde que vous avez besoin de dégommer les monceaux de zénitude qui sommeilleraient en vous.

Le truc, c’est qu’en commençant à écouter la voix, une virile voix d’un homme qu’on ne voit même pas (pourtant, j’ai cherché je vous prie de croire, j’ai retourné le CD dans tous les sens pour voir où il pouvait bien se cacher le bougre), en écoutant cette voix, disais-je, je me suis retrouvée direct un million d’années en arrière, à un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître et où j’avais décidé de prendre des cours de yoga (à vrai dire, je confondais le yoga et le Kâmâ-Sûtra, et quand je m'y étais inscrite, c'était dans l'espoir d'y apprendre toutes les positions du tagada) (enfin passons). Eh bien cette voix voyez-vous, c’est la même que celle de mon prof de yoga d’alors.

Mon prof de yoga était le plus bel homme du monde, un truc à peine tu le regardes tu décides de te fiancer, même que t'en oublies que t'es déjà mariée. Je le gobais des yeux et des oreilles, et quand il venait vers moi en faisant son Om du bout de ses lèvres sensuelles, je le trouvais tellement canon que je me demandais à chaque fois à quel moment il allait tirer. Enfin c'est une image, bien sûr ..

Eh bien voilà, c’est exactement ça que ça me fait, Elsa, d’écouter ton CD de zénitude auto-hypnosante. Alors tu vois, ça me donne envie de bien des choses, mais sûrement pas de dormir !!!!

Bonjour mes amis,

ce matin mon blog est de nouveau envoûté : je n'arrive pas à "poster un message" normalement en ayant ensuite accès aux commentaires. Autrement dit le post n'a pas d'adresse html propre et si je clique sur le titre je reviens inlassablement à l'accueil du blog.

J'avais préparé un texte pour Angèle suite à nos échanges de commentaires d'hier aussi vous prie-je si vous voulez le lire de bien vouloir vous transporter ici.

Je m'excuse par avance auprès de celles et ceux qui le connaissent déjà (le texte, pas Jean-Paul - encore que .. allez savoir !!) et je vous suggère à la place d'aller boire un thé ou un café en profitant du soleil magnifique de ce début de journée.

Tournée générale de bisous !

Rajout de 16h : je viens de contacter le support de canalblog où il m'a été répondu que le problème ne vient pas d'eux mais de mon navigateur.

Heu .... c'est quoi, le navigateur ? 

Ce que j’ai fait ensuite était indéniablement une conséquence du brouillage de mes pensées dû aux incidents extraordinaires et traumatisants qui s’étaient produits au cours des quelques heures précédentes : ma main dans la sienne et l’effet extrême de la présence de la plus belle femme du monde debout devant moi, nue sous un drap de bain.

Je faisais de grands efforts de concentration. Mon cerveau n’avait pas fini de traiter l’épisode de ma main dans celle de Rosie.

N’ayant jamais été aussi attiré sexuellement par une femme je me suis soudain senti tenu d’examiner ses oreilles. J’ai tendu la main et j’ai écarté ses cheveux. Chose surprenante sa réaction a été différente de celle relatée dans le roman que nous avions étudié en cours de français. Rosie a passé ses bras autour de mon cou et m’a embrassé.

Je suis persuadé que la configuration de mon cerveau s’éloigne du modèle de connexion standard. Mes ancêtres n’auraient pourtant pas réussi à se reproduire s’ils n’avaient pas compris certains signaux sexuels élémentaires. Cette aptitude était programmée en moi. J’ai rendu son baiser à Rosie. Elle a réagi.

Nous nous sommes regardés un long moment puis je me suis approché pour l’embrasser encore.

(…)

- Il faut que j’aille chercher quelque chose dans ma chambre, ai-je dit.

- Bonne idée. Dépêche-toi.

Comme ma chambre n’était qu’à onze étages de celle de Rosie, je suis monté à pied. J’ai pris une douche puis je suis redescendu jusqu’à la chambre de Rosie. Quarante-trois minutes s’étaient écoulées. J’ai frappé à la porte et Rosie m’a ouvert, portant cette fois une tenue de nuit qui était plus suggestive que le drap de bain.

J’ai parcouru la chambre des yeux. Le couvre-lit était replié, les rideaux tirés et il n’y avait qu’une lampe de chevet allumée. Je lui ai tendu ….

... Que lui a-t-il tendu à votre avis ? Qu’est-il allé chercher dans sa chambre ?